La pollution est en nous !Dydlïa, notre ministre de l'intérieur, soulève un problème intéressant.
Le problèmeChaque début de semaine, des pics de pollution sont atteints pour ne disparaître que lentement et progressivement au long de la semaine. La cause est bien connue : le rush général vers les mines d'or, afin d'être sûr que sa personne ait les fonds suffisants pour mener sa popotte dans la semaine.
Les dépollutions existent, certes, mais créent deux problèmes :
- En définitive, elles n'ont plus comme but que de revenir à un seuil acceptable. Si la pollution était répartie sur toute la semaine, la dépollution ne viserait pas seulement à revenir à un seuil acceptable mais permettrait d'éradiquer la pollution de notre sol.
- Ces pics de pollutions sonts tels que certaines arbres n'arrivent pas à supporter cette surdose et meurent avant qu'on ait eu le temps de recycler notre oxygène.
Le Paradigme se complait généralement à penser que la pollution vient de l'extérieur, que ce sont "les autres" les méchants. Et pourtant, ce phénomène préoccupant montre que la pollution vient bel et bien de paradigmiens. Le méchant est en nous également.
Les conséquencesC'est un problème réel qu'il ne faut pas sousestimer. La pollution
détruit 33 arbres de la province Grand Jardin. C'était il n'y a pas si longtemps.
Les solutions* Une
réglementation provinciale est possible : limitation du déstockage de l'or ou limitation de l'argent en caisse. Mais ça implique une directeur de production actif et une surcharge de travail pour lui. En outre, si des revenus réguliers pour la ville sont appréciables, ce peut ne pas être le cas pour les villes à faibles rentrées et dont la production d'or est déjà régulée de manière à ce que l'autre ville ne "pompe" pas les ressources vitales. Citons Atlantis et KanardVille de l'Île aux Kanards. Autre problème pour les provinces frontalières nécessitant de forts revenus pour éliminer la pollution étrangère.
* Des
normes impériales pourraient voir le jour : les centres de production de chaque province a un jour d'ouverture fixé par le ministère. De cette manière, les provinces n'auraient pas toutes "leur lundi" le même jour, réglant le problème pré-cité et répartissant la production à l'échelle impériale.
* L'on pourrait bien sûr compter sur le
civisme et l'esprit moral de tout paradigmien : moitié rush, un peu de dépollution immédiate.
...
(ou pas.)
Mais cette solution n'est pourtant pas si contraingante : il suffit d'
une épuration pour éliminer la production de
10 heures de production ! Et le porte-monnaie ? Ca représente un gain de 470 Éf au lieu de 495 Éf.
Je me permettrai de citer San :
- Citation :
- Chez vous, si vous faites tomber du café sur le sol, allez vous le laisser ? Si vous faites tomber une part de tarte à la crème sur votre canapé, allez vous la laisser moisir ?
Alors, quand vous polluez la nature, la salissant, pourquoi la laissez vous comme ça ?
Somme nous écologistes ou capitalistes ? Quel est notre principal intérêt ? Gagner de l'argent ou sauver la nature ?
Vous avez les clés du Paradigme. Chaque citoyen. Profitons-en !
On en parle ici.